samedi 21 mars 2009
AG de l'UFR Lettres Philo Musique
La prochaine Assemblée Générale des personnels et des étudiants de l'UFR Lettres, Philosophie et Musique aura lieu dans notre salle à l'Arche AR 203, lundi prochain, le 23 mars, à 12h30 heures. Venez nombreux !
jeudi 19 mars 2009
La tactique de l’araignée
- Téléchargez le texte : La tactique de l'araignée
1°) Le gouvernement veut vider la licence de son contenu universitaire…
Le gouvernement veut vider les premières années universitaires de leur sens. La spécificité de l’université est de proposer, à tous les niveaux, un enseignement dispensé par des enseignants-chercheurs. Or les réformes en cours visent à couper l’enseignement de la recherche dans les premières années, faisant de la licence une sorte de lycée-bis. Le gouvernement cherche à atteindre ce résultat de deux façons :
- d’une part, en nommant massivement des enseignants qui n’ont pas l’obligation de faire de la recherche, recrutés sans doctorat, et dont la charge de travail rend difficile qu’ils en fassent.
- d’autre part, en modifiant le statut des enseignants-chercheurs : sous couvert d’évaluation, la majorité d’entre eux sera cantonnée à la seule activité d’enseignement.
Combinée au bachotage permanent instauré par les semestres, cette coupure entre enseignement et recherche menace de modifier le contenu même des formations, en les vidant progressivement de leur contenu proprement universitaire. On construit une immense usine à gaz où les enseignants en seront réduits à limiter les dégâts. Si cela se produit, la licence sera une coquille vide qui n’aura plus d’universitaire que le nom. Le gouvernement agit comme une araignée qui liquéfie sa proie de l’intérieur pour la dévorer, sans toucher à son apparence extérieure.
2°) … et faire payer aux étudiants et aux enseignants le prix de la concurrence.
L’autonomie des universités (loi dite LRU) est avant tout une réforme de la gestion des universités. La logique de la loi est de trouver de nouveaux financements pour les universités, en les mettant en concurrence. Et de citer l’exemple américain. Soit. Mais d’où peuvent venir ces financements nouveaux ? Des entreprises ? Sur le budget d’une université comme Toulouse le Mirail, les dons des entreprises – s’il y en a ! – ne représenteront jamais que des sommes marginales. Y a-t-il en France des fondations privées (comme aux Etats-Unis) capables de financer les universités ? Peut-on compter, comme aux Etats-Unis, sur les dons des anciens élèves ? Non. Restent deux moyens, qui remettent en cause tous les deux la nature de l’université et sa place dans la société :
1°) Diminuer l’encadrement. En diminuant le nombre d’enseignants, on peut faire baisser la masse salariale. Il suffit de recruter moins d’enseignants-chercheurs et d’augmenter les services de la majorité des enseignants. Mais la qualité d’une formation reposant sur l’encadrement et le suivi des étudiants, ces économies se font au prix d’une baisse du niveau de formation.
2°) Augmenter les frais d’inscription des étudiants. En Italie, où une réforme de l’enseignement supérieur similaire a été imposée il y a quelques années, les frais d’inscription se chiffrent désormais entre 1500 et 2000 euros par an. En Allemagne, l’année dernière, dans de nombreuses régions, les frais d’inscription sont passés de 400 à 1 400 euros par an. En Angleterre, dans des universités ‘normales’ (ni Cambridge ni Oxford), ils oscillent entre 3000 et 4000 euros. Sans parler des Etats-Unis, où une université publique réputée peu chère, ‘moyenne’ selon les critères de classement, demande entre 11 000 et 15 000 dollars pour une année d’étude (pour les plus cotées, les tarifs explosent jusqu’à 35 000 dollars ou plus par an). Où la loi du marché fixera-t-elle la barre en France ? 1 500 euros ? 3 000 euros ? 4 000 euros ? 8 000 euros ? 20 000 euros ? A l’heure où l’on vante les modèles des autres pays, lequel de ces chiffres a la préférence de nos ronds-de-cuir ? Quel qu’il soit, demain, tous ne pourront plus avoir accès à une université devenue chère.
Quelle université voulons-nous ? Une université, issue de la logique libérale, plus chère pour les étudiants, privilégiant le bachotage au détriment de la formation, bureaucratique, de moins bonne qualité tant pour la formation que pour la recherche?
Ou une université ouverte, accessible à tous, offrant une véritable formation et fonctionnant comme un lieu de collégialité, à la hauteur des défis qui nous attendent?
La France a les moyens d’une éducation nationale et d’une université de qualité. Casser l’université comme s’emploie à le faire le gouvernement n’est pas une stratégie, c’est de l’aveuglement. Refusons cette logique, ouvrons les yeux et rêvons à l’université de demain !
Enseignants-chercheurs de l’Université de Toulouse II-le-Mirail
mercredi 18 mars 2009
Motions votées en AG et en Conseil d'UFR
- Compte-rendu de la rencontre avec le Président Filâtre (30 avril 2009)
- Motion AG UFR (27 avril 2009)
- Motion AG UFR (26 mars 2009)
- Motion AG Département "Lettres modernes, Théâtre, Occitan" (25 mars 2009)
- Motion AG UFR (9 mars 2009)
- Motion AG UFR (2 mars 2009)
- Motion AG UFR (23 février 2009)
- Motion AG UFR (10 février 2009)
- Motion AG UFR (5 février 2009)
- Motion AG UFR (2 février 2009)
- Motion Conseil UFR (13 janvier 2009)
- Motion AG UFR (8 janvier 2009)
Salle 203 de l'Arche (AR 203) : se rencontrer, échanger, partager
L'UFR Lettres, Philosophie, Musique de l'UTM dispose de la salle 203 de l'Arche.
Cette salle est à la disposition de tous : elle permet de se rencontrer, d'échanger, d'afficher...
Les enseignants, qui le souhaitent, peuvent y assurer des permanences pour rencontrer les étudiants...
Cette salle est à la disposition de tous : elle permet de se rencontrer, d'échanger, d'afficher...
Les enseignants, qui le souhaitent, peuvent y assurer des permanences pour rencontrer les étudiants...
mardi 17 mars 2009
Quels professeurs et quelle école pour demain ?
- Téléchargez le texte : La réforme de la formation des enseignants : quels professeurs et quelle école pour demain ?
La réforme de la formation des enseignants du primaire et du secondaire
Les Enseignants Chercheurs des Universités ne sont pas seulement mobilisés pour la défense de leur statut. Les réformes Darcos – Pécresse mettent en péril la formation des enseignants du primaire et du secondaire : elles auront des conséquences désastreuses sur la qualité de l’enseignement public.
LE SYSTEME ACTUEL
● Les enseignants du primaire et du secondaire sont recrutés par l’Etat à l’issue d’un concours national de recrutement : le CAPES, ouvert aux titulaires d’une licence (BAC+3), l’Agrégation, ouvert aux titulaires d’une première année de Master (BAC +4).
● La sélection s’opère sur les compétences disciplinaires (mathématiques, lettres, histoire etc.). Les étudiants admis à ces concours effectuent une année de stage rémunéré par l’Etat dans le cadre de l’Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM) : chaque stagiaire a la responsabilité d’une (ou deux) classe(s) complète(s) durant toute l’année – 8 h hebdomadaires. Le complément de sa formation, théorique, s’effectue dans le cadre de l’IUFM. L’enseignant stagiaire n’est titularisé qu’à l’issue de cette année de stage (BAC+5).
Ce système de formation est celui d’une formation professionnelle par alternance. Perfectible, il repose sur deux principes essentiels à une formation de qualité :
1°) une maîtrise des savoirs disciplinaires ;
2°) une compétence pédagogique acquise pendant l’année d’apprentissage.
Cette année d’apprentissage, avec sa charge d’enseignement réduite, permet aux enseignants débutants une approche sereine et réfléchie, indispensable lorsqu’il s’agit de travailler auprès de jeunes et d’enfants.
LA REFORME
Elle concerne le niveau de recrutement : désormais un master (BAC+5) d’Enseignement et un concours. Elle concerne aussi le contenu de la formation. Ses principes et ses conséquences :
1°) un abaissement de l’exigence disciplinaire (mathématiques, lettres etc.) des concours : de nombreuses spécialités sont menacées au profit d’épreuves générales, vagues, comme ‘la connaissance du système éducatif’. On demande moins à un enseignant d’être savant dans un domaine (le français ou l’histoire ou l’anglais…), que d’être prêt à enseigner n’importe quelle matière (le français et l’histoire et l’anglais…).
Conséquence : baisse de formation pour les enseignants = baisse de qualité d’enseignement pour les élèves.
2°) la suppression de l’année de stage rémunéré. Les jeunes recrutés enseigneront à plein temps, sans apprentissage, dès la première année. Dans le primaire, les professeurs des écoles perdent également cette année de stage et devront immédiatement savoir apprendre à lire, à écrire, à compter aux enfants, sans avoir été formés pour cela. L’Etat, à court terme économise 15000 postes.
Conséquence : le prix payé à long terme : une formation au rabais, aux dépens des élèves placés face à des enseignants non expérimentés et travaillant dans l’urgence.
3°) les titulaires d’un Master Enseignement ayant échoué au concours viendront grossir le nombre d’enseignants précaires, mal payés, déconsidérés et démotivés, recrutés sur des contrats de 200 h.
Conséquence : l’élève verra défiler plusieurs enseignants remplaçants dans l’année, comme cela se généralise déjà. Ou il se retrouvera sans enseignant, au vu de l’attractivité du métier. C’est non seulement la qualité, mais aussi la continuité de l’enseignement qui est menacée. Déjà, pour pallier la suppression massive des postes, les rectorats font appel à des étudiants titulaires d’une licence (BAC +3) sans expérience pour faire des cours en collège ou lycée, sans souci de la qualité de l’enseignement apporté aux élèves et des difficultés rencontrées par les étudiants.
Cette réforme est dangereuse : elle participe au démantèlement de l’école publique. Une société doit se donner les moyens de son Education. Nous appelons enseignants et parents d’élèvesà soutenir et amplifier le mouvement d’opposition.
Enseignants-chercheurs de l’Université de Toulouse-le-Mirail
Sottie a neuf personnaiges
c’est assavoir de Bone Reforme, Male Reforme, Le Metre du Monde, les Gens, Educacion Nationale, l’Estudiant, l’Enseignant-chercheur, Pasquet Fiscal, la Crise.
Education Nationale est assise par terre, la tête dans les mains, pauvrement vêtue ; Université est à ses côtés. Les Gens est couché, il ronfle sur son oreiller. Entrent Estudiant et Enseignant Chercheur.
L’Enseignant-Chercheur
Les Gens, les Gens : resveillez-vous !
Ne songiez plus, houspillez vous !
Educacïon Nationale
Se meurt, veez comme elle est pasle !
L’Estudiant
Les Gens, les Gens, resveillez-vous !
Levez les yeulx, entendez nous !
Prouffit et Rentabilité
Ont volé Université !
L’Enseignant-Chercheur et l’Estudiant, crient plus fort, d’une seule voix :
Savoir, Liberté, Connoissance,
Literature, Histoire et Science,
N’ont plus aujourd’uy de quoy vivre :
On leur retire tous leurs livres !
Les Gens se retourne dans son lit :
Quant cesserez vous ce tapaige ?
Or me prenez vous en otaige ! ?
L’Estudiant, L’Enseignant Chercheur
Les Gens, sommeil n’est plus de mise !
La Crise ? Elle a bon dos la Crise !
(La Crise montre son bon dos)
Male Reforme est plein de Vices :
Educacion est au supplice !
Le Mètre du Monde entre avec ses rébânes. Il est tout petit. Il est suivi par ses serviteurs – on en reconnaît quelques-uns.
Les serviteurs, dans un jargon incompréhensible ;
Gloria Rex, Metrus Mundi,
Gubernator, fax Populi,
Asinus Rex coronatus,
Christian Clavieri amicus,
Mutator Praefectorum
Et Dominus reformarum !
Le Mètre, à l’Estudiant et à l’Enseignant-chercheur
Je vos ay oïs, bande de cons.
Les serviteurs : à l’Estudiant et à l’Enseignant-chercheur :
Il vos a oïs ! Comme il est bon !
Le Mètre, il présente Male Reforme : elle boîte, elle louche, vestue de guenilles ; dans sa main une bourse, petite et aux cordons bien serrés.
Moi j’dys : y’ a besoin de Reforme :
Regardez-la, elle est en forme.
(il montre Male Reforme, qui esquisse un pas de danse et tombe)
Moi j’dys, les bouquins c’est tres bien,
Mais pour les Gens y en a pas b’soin.
Pour bosser au supermarché,
‘Faut surtout aprandre a compter.
Les serviteurs :
Gloria Rex ommipotens,
Omnipresens, omnisciens !
D’Université Pourfendeur,
D’Educacion le fossoyeur !
Le Mètre :
Moi j’dys, celle Reforme est bonne :
C’est Educacion qui desconne !
J’ay pas d’argent a vous donner,
Pasquet Fiscal a tout piqué.
(Il montre Pasquet Fiscal, énorme, qui dort dans un coin)
L’Estudiant, l’Enseignant Chercheur :
Alez vos ant, Male Reforme,
Alons querir Bone Reforme !
Respect, Debat, Concertacion,
Democracie, Proposicion,
Videz hors celle sotte fole
Qui assotit tout nostre escole !
Respect, Debat, Concertacion, Democracie et Proposicion bottent le cul de Male Reforme qui s’enfuit. Entre Bone Reforme, de grace refulgente, montée sur un char tiré par deux ministres.
Le Metre du Monde, abandonné de ses serviteurs :
Moy j’dys faut toujours escouter :
Vous sçavez, j’ay beaucoup changé.
Estudiant
Vos l’avez dict bien d’autres foys :
Vous nous faictes manger de l’oye !
Educacion est bien malade,
Pou de bien lui font vos salades.
Université, couronne le Metre d’un bonnet d’âne
‘Un roy sans lettres, c’est ung faict,
Est comme un asne couronné’.
Vos le sçaurïez se vos estiez
Aléz a Université !
Bone Reforme, entourée de l’Estudiant, l’Enseignant-Chercheur, Debat, Concertacion, Proposicion, Democracie, Respect ; les Gens les a rejoints ;
Male Reforme a faict son temps :
Alons a son enterrement,
Puis mectons nostre entencïon
A relever Educacion.
Explicit.
Education Nationale est assise par terre, la tête dans les mains, pauvrement vêtue ; Université est à ses côtés. Les Gens est couché, il ronfle sur son oreiller. Entrent Estudiant et Enseignant Chercheur.
L’Enseignant-Chercheur
Les Gens, les Gens : resveillez-vous !
Ne songiez plus, houspillez vous !
Educacïon Nationale
Se meurt, veez comme elle est pasle !
L’Estudiant
Les Gens, les Gens, resveillez-vous !
Levez les yeulx, entendez nous !
Prouffit et Rentabilité
Ont volé Université !
L’Enseignant-Chercheur et l’Estudiant, crient plus fort, d’une seule voix :
Savoir, Liberté, Connoissance,
Literature, Histoire et Science,
N’ont plus aujourd’uy de quoy vivre :
On leur retire tous leurs livres !
Les Gens se retourne dans son lit :
Quant cesserez vous ce tapaige ?
Or me prenez vous en otaige ! ?
L’Estudiant, L’Enseignant Chercheur
Les Gens, sommeil n’est plus de mise !
La Crise ? Elle a bon dos la Crise !
(La Crise montre son bon dos)
Male Reforme est plein de Vices :
Educacion est au supplice !
Le Mètre du Monde entre avec ses rébânes. Il est tout petit. Il est suivi par ses serviteurs – on en reconnaît quelques-uns.
Les serviteurs, dans un jargon incompréhensible ;
Gloria Rex, Metrus Mundi,
Gubernator, fax Populi,
Asinus Rex coronatus,
Christian Clavieri amicus,
Mutator Praefectorum
Et Dominus reformarum !
Le Mètre, à l’Estudiant et à l’Enseignant-chercheur
Je vos ay oïs, bande de cons.
Les serviteurs : à l’Estudiant et à l’Enseignant-chercheur :
Il vos a oïs ! Comme il est bon !
Le Mètre, il présente Male Reforme : elle boîte, elle louche, vestue de guenilles ; dans sa main une bourse, petite et aux cordons bien serrés.
Moi j’dys : y’ a besoin de Reforme :
Regardez-la, elle est en forme.
(il montre Male Reforme, qui esquisse un pas de danse et tombe)
Moi j’dys, les bouquins c’est tres bien,
Mais pour les Gens y en a pas b’soin.
Pour bosser au supermarché,
‘Faut surtout aprandre a compter.
Les serviteurs :
Gloria Rex ommipotens,
Omnipresens, omnisciens !
D’Université Pourfendeur,
D’Educacion le fossoyeur !
Le Mètre :
Moi j’dys, celle Reforme est bonne :
C’est Educacion qui desconne !
J’ay pas d’argent a vous donner,
Pasquet Fiscal a tout piqué.
(Il montre Pasquet Fiscal, énorme, qui dort dans un coin)
L’Estudiant, l’Enseignant Chercheur :
Alez vos ant, Male Reforme,
Alons querir Bone Reforme !
Respect, Debat, Concertacion,
Democracie, Proposicion,
Videz hors celle sotte fole
Qui assotit tout nostre escole !
Respect, Debat, Concertacion, Democracie et Proposicion bottent le cul de Male Reforme qui s’enfuit. Entre Bone Reforme, de grace refulgente, montée sur un char tiré par deux ministres.
Le Metre du Monde, abandonné de ses serviteurs :
Moy j’dys faut toujours escouter :
Vous sçavez, j’ay beaucoup changé.
Estudiant
Vos l’avez dict bien d’autres foys :
Vous nous faictes manger de l’oye !
Educacion est bien malade,
Pou de bien lui font vos salades.
Université, couronne le Metre d’un bonnet d’âne
‘Un roy sans lettres, c’est ung faict,
Est comme un asne couronné’.
Vos le sçaurïez se vos estiez
Aléz a Université !
Bone Reforme, entourée de l’Estudiant, l’Enseignant-Chercheur, Debat, Concertacion, Proposicion, Democracie, Respect ; les Gens les a rejoints ;
Male Reforme a faict son temps :
Alons a son enterrement,
Puis mectons nostre entencïon
A relever Educacion.
Explicit.
En AR 203 ! Programme de la semaine du 16 au 23 mars
Lundi 16 mars
14H Assemblée générale des personnels et des étudiants de l'UFR
Mardi 17 mars
10H Réunion débat: réflexions sur la LRU et ses conséquences : revendications des étudiants, BIATOS, enseignants
14H Répétition. Formation du choeur de la Princesse et répétition de la lecture
Mercredi 18 mars
10H Réunion débat: réflexions sur la LRU et ses conséquences : élaboration de tracts, blog UFR …
12H Rencontre avec les étudiants Erasmus pour des témoignages sur les différents systèmes universitaires étrangers
14H Action. Lecture Princesse de Clèves et diffusion de tracts square de Gaulle. Rendez-vous devant Virgin (métro Capitole).
Jeudi 19 mars
Matinée Action. Diffusion de tracts à destination des lycéens
10H Répétition des musiciens devant l'Arche.
14H30 Manifestation. Départ de Compans Caffarelli.
14H Assemblée générale des personnels et des étudiants de l'UFR
Mardi 17 mars
10H Réunion débat: réflexions sur la LRU et ses conséquences : revendications des étudiants, BIATOS, enseignants
14H Répétition. Formation du choeur de la Princesse et répétition de la lecture
Mercredi 18 mars
10H Réunion débat: réflexions sur la LRU et ses conséquences : élaboration de tracts, blog UFR …
12H Rencontre avec les étudiants Erasmus pour des témoignages sur les différents systèmes universitaires étrangers
14H Action. Lecture Princesse de Clèves et diffusion de tracts square de Gaulle. Rendez-vous devant Virgin (métro Capitole).
Jeudi 19 mars
Matinée Action. Diffusion de tracts à destination des lycéens
10H Répétition des musiciens devant l'Arche.
14H30 Manifestation. Départ de Compans Caffarelli.
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